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5 janvier 2021

“Un rythme plus serein”

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Liberté éducation1 week ago
Billet d'humeur de notre secrétaire général Jean-Baptiste Maillard

LA NUIT DERNIÈRE, J'AI RÊVÉ...

La nuit dernière, j’ai rêvé que je rencontrais Macron dans une rue déserte de Paris, ou plutôt une impasse du 16eme arrondissement. Il était seul, sans sa cour, poussant un chariot vide, pour aider sa femme Brigitte à ouvrir un commerce, galerie d'art ou restaurant, je ne sais, aux murs tout bleus, comme son ancien tapis de l’Élysée, du salon du nom de cette couleur...

Il avait pris un sacré coup de vieux, les cheveux grisonnants et le regard presque vitreux (j'ai trouvé depuis la photo ci-dessous, assez ressemblante). J’ai toujours su que je le rencontrai un jour (comme j’avais discuté avec son prédécesseur, dans un kiosque à journaux d'une gare parisienne, aussi échangé avec Sarkozy et même Chirac...).

J’avais sur mes lèvres les paroles si longtemps préparées pour le jour où cela arriverait, comme rangées dans un tiroir de ma mémoire, pour les ressortir telles quelles, le moment venu.

M’approchant de lui, je m’adressais à lui dans les formes républicaines, comme on parle à un ancien président, même déchu du peu d’aura qui lui restait :

- Bonjour, Monsieur le Président, lui dis-je très courtoisement
- Bonjour Monsieur, me répond-il, ajoutant, croyant sans doute avoir affaire à un ancien admirateur : voulez-vous un autographe ?
- Non, répondis-je, mais la faveur d'échanger quelques minutes avec vous ?
- C'est d'accord.
- Du temps où vous étiez président, vous avez fait une très grosse erreur.
- Ah bon ? Laquelle ?
- Celle de vouloir interdire l'instruction en famille.

Il haussa les épaules, ne laissant rien entrevoir de ses véritables pensées, aussi je poursuivis sur ma lancée :

- Souvenez-vous : vous êtes intervenu directement auprès du Conseil d'Etat pour faire réécrire le fameux rapport Bergeal, voté par la section de l'administration, qui donnait le plus haut degré de motif d'inconstitutionnalité, la disjonction de constitutionnalité, à savoir que cette mesure était tout à la fois injustifiée et disproportionnée. Vous avez ensuite contraint les députés à voter à l'aveugle, en faisant en sorte que ne soient pas publiés les rapports DGESCO qui indiquaient que seuls 0,09 % des enfants instruits en famille posaient problème, et non pour des raisons de séparatisme ou de radicalisme. Rapport que nous avions pourtant demandé à la CADA jusqu'au tribunal administratif de Paris, ou par la voix de nos soutiens députés, à qui votre ministre répondit en séance, piteux mensonge, qu'ils étaient "disponibles sur simple demande". Vous aviez aussi fait "oublier" que la chef des services de renseignement intérieur, auditionnée à l'Assemblée, affirmait qu'il n'y avait aucun lien avec le radicalisme, tout comme nos meilleurs chercheurs sur le sujet, des armées jusqu'au ministère de l'intérieur, comme je l'avais rapporté, preuves à l'appui, dans mon livre L'école à la maison, une liberté fondamentale, qui fut étrangement déprogrammé, le jour de sa sortie, chez vos amis Hanouna, puis Apolline de Malherbe et BFMTV...

Enfin, pour achever de torpiller son chemin démocratique, votre gouvernement a empêché le vote réel d'avoir lieu, le jour même de l'examen de l'article, par une interruption de séance, avec un amendement hors délai proposant in extremis deux années de sursis. Ceci afin de convaincre vos propres députés frondeurs, malgré les consignes de vote envoyées le matin même par Castagnette à votre majorité Playmobil, le matin même par Télégram... comme nous le confima plus tard l'un de vos Marcheurs, qui pourtant ne nous faisait pas marcher.

Le président me regardait, semblant ne pas croire un mot de ce que je lui racontais. Je poursuivais :
- Et sans parler des paroles de votre ministre de l'Education assurant à la représentation nationale, la main sur le cœur, que les familles qui n'avaient rien à se reprocher pourraient continuer sans difficulté, comme Brugnera l'avait dit aussi... ou vous-même, dans une interview à Brut !
- Oui, coupa-t-il, et donc, j'avais bien raison.
Je répondais :
- Sauf que dès la première année, vous avez privé plus de 6000 enfants et leurs parents de cette liberté fondamentale, et de façon totalement injustifiée... entraînant une grande détresse et un vrai déchirement dans ces familles, y compris au sein de mêmes fratries...
- Et alors ?
- Alors, nous nous sommes battus comme des fous, devant les tribunaux du pays, cherchant même des fonds pour aider les familles à prendre des avocats. Les juges, vite lassés de traiter ces centaines et centaines de dossiers que les académies auraient dû de toute évidence accepter, ont fini par donner raison aux familles, pour le bien des enfants. Et vous avez perdu : la jurisprudence, malgré vos interventions répétées en cassation, a rendu cette liberté aux parents.

L'ancien président de la République qu'il était me répondit froidement :
- J'ai fait le job, c'est tout.

Et je m'en retournais dans mon sommeil poursuivre la suite de nos rêves de liberté, heureux de lui avoir dit nos quatre vérités.

#ief #Liberté #Education #instructionenfamille
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